Ce lundi 27 octobre, le sous-sol de la réserve a été visité par les étudiants de la Faculté Polytechnique de Mons (UMons).
A cette occasion, il est apparu que la fréquentation des galeries, que nous pensions freinée quelque peu après la destruction du véritable camp de base installé en sous-sol, a repris. Certes, on est loin des installations initiales, mais le passage par l'ancienne champignonnière a repris.
Nous essayerons de trouver le moyen de bloquer — légalement — l'accès au moins à la partie plus "sauvage" du site durant le congé de Toussaint. Quant aux visiteurs, nous ne désespérons pas de tomber sur eux.
Ceci est d'autant plus nécessaire que c'est la saison durant laquelle les galeries commencent à être occupées par les chiroptères (la confirmation visuelle de l'occupation a été faite à cette occasion).
Un exemple de dégradations constatées: les restes d'une bouteille en plastique qui a été brûlée après avoir été fixée au ciel (plafond) d'une galerie.
Le genre d'activités pas vraiment propice à un site d'hivernage pour les chiroptères. Cette dégradation-ci a été constatée dans une des galeries les plus fréquentées, proche des puits d'aération.